A plus de 110 km/h on y file, le temps et les distances indiqués sur des gros panneaux ,nous rappellent sans cesse qu'à un moment "il faudra penser à quitter notre autoroute". Toutes ces voies, ces monstrueux échangeurs m'impressionnent, parfois il y a tellement de panneaux et de voies qu'on loupe forcement une sortie entrainé par le mouvement des autres "usagers". Quel stress!
Dans tout cela je trouve de la douceur là où certains trouvent encore plus de stress! Le béton qui porte les stigmates des infiltrations d'eau, le ballet des feux de stop avant un ralentissement, le Graffiti toujours lui, là où il ne faut pas. En ayant l'habitude de passer à toute allure on a toujours du mal à s'imaginer ce que cela pourrait être que de se tenir juste là, debout, derrière la barrière de sécurité avec dans son dos des centaines de voitures et camions moteurs hurlants!
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